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A titre posthume

11 janvier 2007

La suite :

parolesdange

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22 décembre 2006

Joyeux Noël et Bonne Année !!!!

tazcoeur

16 décembre 2006

Sur un autre nuage,

tout près, en ballade, je suis là : http://www.lechemindesetoiles.org/

26 novembre 2006

Réflexion

nuefen_tre

3 novembre 2006

Et si, et si, et si...

avlostinthough

Et si je pouvais m’envoler pour de bon ? Et si tout ce que je connaissais n’était rien à côté de ce qui m’attend ? Qu’est-ce qui me retient de devenir un ange ? Pourquoi tant de questions ? Ca me fatigue. Et pas question de faire la sieste, je ne dors plus. J’ai bien essayé au début, mais rien à faire. Je me couchais dans une de mes innombrables chambres, elles étaient immenses et il y en avait tant que j’ai fini par camper à la réception. J’ai vaguement attendu, j’avais encore un peu d’espoir à l’époque, mais personne n’est venu. Personne. A croire que je n’étais plus capable d’inventer. Heureusement, j'ai tout effacé.

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24 octobre 2006

Ca pousse !

oiseauxGT

Je crois qu’il me pousse des ailes… ?… Si… De mes omoplates, deux embryons d'ailes. Je pourrais peut-être bientôt voler ? Même si ça ne sert à rien ici. Faire des loopings, des piqués, un meeting aérien ? Je pourrais jouer à plein de choses ! Et quand j’aurai tout fait, que ferai-je de mes ailes ?

Moi, un ange ? Avec tout ce que j’ai fait ?

24 octobre 2006

Et maintenant ?

deepspace1

Je n’ose pas…

Inutile de le cacher. Et qu’est-ce que je pourrai bien cacher ici, seul avec moi-même ?

Je n’ose pas et point à la ligne.

Je n’ose pas… Je ne suis pas encore assez sage.

M’unifier et me perdre ? Ne plus être qui j’étais pour devenir autre chose que je ne connais pas ? Abandonner ce que je connais de moi ? Non, je m’y refuse encore. Pour être qui ou quoi ? Si ce que je crois est tout, où serai-je moi ? Ai-je la force et le courage d’emprunter cette voie ? Prendre de la distance avec ce que je croyais être pour être ce que je suis… l’inconnu… J’ai peur… Et pourtant je n’ai plus rien à perdre. Est-ce que j’écrirai après ?…

Et pourquoi ai-je encore besoin de m’asseoir sur un nuage qui vire au gris quand mes pensées m’amènent là où je n’ai plus besoin d’aller ? Nul ne m’impose d’être assis ni ma nature présente. Ni faim ni froid ni besoin de me reposer…

Le plus difficile, c’est d’effacer toutes mes images. Quoique je fasse, il me reste toujours des bribes d’anciennes croyances si tenaces que je n’arrive pas à les gommer. Dieu, bien sûr, qui n’est ni père ni juge et certainement pas homme.

Je continue par exemple à croire que je respire encore, qu’il me faut dormir pour être en forme le lendemain. Je crois même que le temps passe. Et je persiste à disséquer mon passé tout en imaginant un futur improbable plein de lumières dans les bras d’un dieu dont je rêve ! Hier et demain continuent à m’occuper comme de mon vivant.

Mais maintenant ? Là ? Tout de suite ?… Qu’est ce que je fais ?… Je dicte mes pensées à un auteur qui ne croit pas en son talent. Un peu comme je l’ai fait en mon temps, sous d’autres cieux. Je lui dicte mes sentiments sans m’intéresser un instant à ce qu’il peut penser. Finalement, c’est bien moi qui ait besoin de lui…

Ma mort ne me rend ni meilleur ni supérieur. J’ai juste changé d’état et tout reste à faire, à commencer par vivre au présent, d’autant plus que c’est tout ce qu’il me reste. Qu’est-ce que c’est vivre au présent ?

24 octobre 2006

Sofia

Belleptitegoutte

- Qui es-tu ?

- Mon nom est Sophie.

- D’où viens-tu ?

- Je suis partout où l’on a besoin de moi.

- Ha ?

- Et tu as besoin de moi.

- Moi ?

- Oui. Vois-tu quelqu’un d’autre ici ? Pose-moi ta question.

- J’en ai tellement. Tu as toutes les réponses ?

- Sans exception car je me nomme Sophie.

- Tu as d’autres noms ?

- Est-ce ta question ?

- Je n’ai droit qu’à une seule ?

- Que te dicte ta sagesse ?

- … De… Ne pas avoir d’idées préconçues sur qui tu es ?…

- Quel grand sage tu fais. Je m’appelle Sophie, d’autres me nomment Sofia et toute mon essence te fut révélée dans des mots tels que philosophie et théosophie…

- Ami de la sagesse, sagesse de dieu.

- Oui, je suis la Sagesse.

- Le savoir, la connaissance, l’expérience, la vérité ?

- Et l’humilité. Maintenant que tu sais qui je suis, pose-moi ta question.

- Chercher est-il la bonne voie ? Si je ne sais pas ce que je cherche. Si je ne peux même pas imaginer le début de la réponse ? Non, je viens de dire une bêtise, si j’imagine la réponse, je ne fais que me rappeler.

- Oui.

- Alors, vais-je trouver ?

- Que cherches-tu ?

- Ce que je cherche ? Mon dieu ! Pardon… Mais oui, c’est lui que je cherche !

- Quel dieu ?

- Un dieu d’amour !

- L’as-tu déjà imaginé ?

- Oui. Mais je l'ai effacé.

- Dieu ne rentre pas dans des cases.

- C’est ce que je crois. Non, j’essaie aussi de ne plus croire.

- Sage décision.

- Où est-il ?

- Partout… Devant moi, par exemple, et tu l’as devant toi. Tu le vois en toute création, en tous lieux, animé et inanimé. Il est partout car l’amour est tout.

- Dieu s’appelle Amour ?

- Lorsque tu prononces le mot " dieu ", tu subis encore les conditionnements de la race dont tu faisais partie. Ton dieu n’est qu’une vision anthropomorphique d’un concept infiniment plus simple et, bien entendu, plus compliqué. Plutôt que de discourir d’un dieu fait à ton image, préfère philosopher sur son essence et tu verras que chacune de tes questions trouveront leurs réponses.

- Plus de dieu, juste de l’amour.

- Son essence, ton essence et la mienne. Voilà pourquoi il est devant moi et tu l’as devant toi. L’amour est énergie, tout le reste n’est que véhicule.

- Simple.

- Et fort compliqué. Que te dicte ta sagesse ?

- Si l’amour est tout, tout est amour.

- Sagement tout.

- Tout est amour, minéraux, végétaux, animaux, êtres conscients incarnés ou éthérés…

- Toute création.

- Et tout est moi.

- Oui car tu es amour. Rien ne te sépare, rien ne te divise.

- Si tout est amour, je pourrai me fondre dans le tout et perdre mon identité ?

- Rien ne se perd.

- Mais si j’aime, comme un dieu, non, comme l’amour sait aimer, alors je me mets à la place de tout, je deviens chaque chose jusqu’à m’oublier, je suis partout en chaque atome de la création que j’aime car il est moi, fait partie de moi et il est tout. Comme moi ?

- Tu es et tu n’es pas.

- Je bute.

- Tu es lumière issue de la lumière afin d’expérimenter l’amour. Et tu n’es pas car tu peux à tout moment décider d’expérimenter le tout et t’y fondre, comme la goutte d’eau se fond dans l’océan. Elle est goutte d’eau qui ruisselle sur la roche au gré de la vague qui la porte et l’emporte. Elle est aussi l’océan lorsqu’elle retrouve les abysses de son élément.

- Elle est la goutte et l’océan.

- Comme toi. Mais tu disposes de la conscience qui te permet de faire l’expérience de qui tu es vraiment. La goutte d’eau ne sait pas à quel principe elle participe, toi, oui. Elle ne sait pas quelle est sa place ni son rôle, toi, oui. Elle n’a aucune conscience de qui elle est et pourtant elle est à la base de la création que tu as expérimentée si longtemps. Tu as conscience de ta propre expérience. Voilà le pourquoi de tes questions, tu veux redevenir conscient de ta nature véritable. Imagines-tu le pouvoir dont tu disposes ?

- Oui. Je suis une goutte d’eau consciente qui peut choisir de devenir l’océan.

- Qui ruisselle et se fond, à l’infini et pour l’éternité. Tu participes à la création dans ton individualité et tu es la création dans ton tout. Tu es et tu n’es pas.

- Je crois que je commence à comprendre.

- Ai-je répondu à ta question ?

- Je n’en aurai plus, n’est-ce pas, quand je déciderai d’expérimenter le tout ?

- Et tu en auras lorsque c’est de la séparation que tu reprendras conscience de qui tu es.

- Compliqué.

- Et si simple. Tu es amour, reviens toujours à ton essence.

- Je te reverrai ?

- Je suis toi.

- Merci Sophie.

- Merci à toi de m’expérimenter.

24 octobre 2006

Qui va là ?

Ange

" Là, tout va bien, ne t’inquiète pas. Tu as reçu ta part de coups et de blessures mais tu as progressé, grandi, appris. Maintenant tu sais.

Oui, je suis là, pleure, ne te gêne pas. Je ne te dirai pas que tu es un grand garçon et qu’il ne sert à rien de pleurer. Laisse aller tes larmes sur tout ce qui t’a si longtemps blessé.

Je te pardonne toutes tes bêtises qui n’en sont pas, tous tes chemins de traverse qui t’ont permis de découvrir le tien.

Tu es un grand voyageur fatigué qui ne sait plus que penser mais tout ira bien désormais. Tes larmes vont fleurir des contrées que tu ignores et rejoindre les torrents de bonté qui se déversent en toi.

Tu ris maintenant ! Oui, vas-y, ris, car est venu le temps de ton étincelante beauté.

Ris à ce que tu as été, dis merci, et, reposé, l’âme en paix, unifié, aime comme tu le sais ".

24 octobre 2006

Déménagement

HelixNebulaNGC7293

J’ai changé de nuage ! J’en ai pris un gros, un peu plus haut. Enfin plus haut par rapport à l’ancien, parce qu’ici tout est vraiment relatif.

Je ne peux pas dire que je domine plus la situation ni que mes pensées s’éclaircissent avec l’altitude, mais je me sens mieux, plus léger.

Je suis juste relativement un peu plus haut. J'admire l'oeil de dieu. D’ailleurs je suis, tout simplement.

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